60 participants étaient présents pour ce groupe de travail sur les enjeux de la réutilisation des eaux de STEP en agriculture.
Parmi eux, la Région SUD, Métropole de Toulon, Métropole Aix Marseille, l’Agence de l’eau, Dreal,…
Le grand enseignement de cette matinée est l’avancée de la réglementation européenne sur la réutilisation des eaux de STEP.
Celle-ci, va imposer aux états membres d’intégrer cet enjeux dans leur réglementation. Aussi, l’Etat aura besoin de remontées d’expériences transparentes et scientifiquement robustes.
Dans les années à venir, les STEP seront déployées à intérieur des villes dans une approche d’économie circulaire qui associera les urbanistes et aménageurs. Il n y aura pas un seul modèle de STEP. Chaque projet de STEP répondra aux enjeux locaux tout en ayant recours aux produits et matériaux locaux dont des plantes endémiques.
Outres les usages agricoles (une alternative au prélèvement par forage et dans les cours d’eau et rivières), la réut va certainement se déployer sur les enjeux de recharge de nappes (stopper le biseau salé, fournir de l’eau en temps de sécheresse), agriculture et irrigation urbaines.
Enfin, tous les projets devront trouver un équilibre entre les enjeux de compétitivité et de gestion du risque.
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